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21 de noviembre de 2018

« S’il n’y avait pas d’évasion fiscale, il n’y aurait pas de problème d’équilibre des finances publiques »




Dominique Plihon, porte-parole d’Attac France et professeur d’économie financière à l’université Paris-XIII a répondu à vos questions lors d’un tchat du Monde.fr à propos de la lutte contre l’optimisation et l’évasion fiscales.
Publié le 15 février 2017 à 15h13 - Mis à jour le 15 février 2017 à 15h14
Temps deLecture 7 min.
Que peut entreprendre la France, et plus généralement l’Union européenne (UE) pour lutter contre l’optimisation et l’évasion fiscale ? Alors que l’UE a déjà adopté, en 2016, une série de mesures dans la foulée du scandale « Panama papers », beaucoup s’interrogent sur la tolérance qu’elle affiche à l’égard de « petits paradis fiscaux », tels que l’île de Madère, à laquelle Le Monde s’intéresse, mercredi 15 février.
Le Monde.fr a invité Dominique Plihon, porte-parole d’Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) France et professeur d’économie financière à l’université Paris-XIII, à participer à un tchat afin de répondre à vos questions sur le sujet.

Alain : « Vos questions sur l’optimisation et l’évasion fiscale »... Je ne me sens pas concerné par tout ça. Devrais-je l’être ?

Dominique Plihon : Je précise que je parle à la fois en tant qu’économiste et citoyen altermondialiste. L’évasion fiscale est une question majeure pour la société et même pour la démocratie. Premièrement, nous avons montré que l’évasion fiscale représente des sommes considérables, de l’ordre de 60 à 80 milliards d’euros par an pour la France, et 1 000 milliards d’euros par an pour l’Union européenne.
Dans le cas de la France, l’évasion fiscale correspond à peu près au montant du déficit public. C’est-à-dire que s’il n’y avait pas d’évasion fiscale, il n’y aurait pas de problème d’équilibre des finances publiques.
Deuxièmement, l’évasion fiscale profite essentiellement aux citoyens les plus fortunés et aux plus grandes entreprises transnationales, ce qui renforce les inégalités et crée un sentiment d’injustice fiscale, ce qui est contraire au droit fondamental qui place les citoyens à égalité devant l’impôt. Ce sentiment d’injustice sape l’un des fondements de l’Etat de droit qu’est l’impôt.

Maxime : Vu les chiffres que vous donnez et donc les enjeux de la lutte contre l’évasion fiscale, il me vient une question. Pourquoi est-ce si compliqué de lutter contre ? J’imagine que tous les gouvernements intelligents (de droite comme de gauche) ont dû vouloir « mettre le paquet » pour récupérer la cagnotte ?

Dominique Plihon : Le principal obstacle à la lutte contre l’évasion fiscale n’est pas la complexité, mais la volonté politique. En France, par exemple, il existe ce qu’on appelle le « verrou de Bercy » qui nécessite l’autorisation du ministre de l’économie pour poursuivre les gros délinquants fiscaux, entreprises ou particuliers. Les hommes politiques peuvent être sensibles aux pressions des lobbies et ne pas avoir la sévérité requise dans la lutte contre ces derniers. Pour éviter ce risque, il faudrait supprimer ce « verrou » et donner à la justice une entière liberté pour poursuivre ces délinquants sans autorisation préalable.
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Pour montrer l’insuffisante volonté politique en France de lutter contre l’évasion fiscale, il faut savoir que 35 000 fonctionnaires des services fiscaux ont été supprimés depuis près de quinze ans, parmi lesquels des inspecteurs chargés de traquer l’évasion fiscale. Un inspecteur des impôts rapporte pourtant plus à l’Etat qu’il ne lui coûte, parce qu’il permet de recouvrer des recettes fiscales souvent importantes.

Zamboanga : Quelles sont les propositions des candidats pour réduire les déficits publics de la France ?

Dominique Plihon : La plupart des candidats de droite, y compris Emmanuel Macron, que je considère comme tel, veulent réduire les dépenses publiques et augmenter certains impôts comme la TVA. Ce qui se traduit par une dégradation des services publics, de la protection sociale, au détriment des citoyens les plus fragiles.
Ces mesures sont exactement le contraire de ce que proposent les candidats marqués à gauche (Hamon et Mélenchon, par exemple). Ces derniers préconisent de s’attaquer d’abord à l’évasion fiscale, qui pèse lourdement sur les finances publiques. Par ailleurs, certaines niches fiscales qui profitent aux citoyens les plus aisés (déduction sur l’immobilier) devraient être supprimées, car elles coûtent, elles aussi, d’après la Cour des comptes, l’équivalent de 80 milliards d’euros par an.
Selon ces candidats de gauche, certains impôts doivent être augmentés, en particulier les impôts sur le capital (succession, impôts sur les sociétés, les plus-values, etc.). En revanche, ils ne proposent pas d’augmenter la TVA, qui est un impôt dit régressif et qui pèse principalement sur les ménages dont les revenus sont les plus bas.

Axel : Concrètement, quelles sont les actions que l’Union européenne peut mettre œuvre en pour lutter contre l’évasion fiscale ?

Dominique Plihon : Il est prioritaire de donner un statut juridique aux lanceurs d’alertes pour les protéger. Ceux-ci jouent un rôle important pour révéler au grand jour les pratiques fiscales illégitimes qui conduisent à l’évasion fiscale. On peut donner l’exemple de l’affaire « Luxleaks », au Luxembourg, dans laquelle des lanceurs d’alertes, dont Antoine Deltour, ont diffusé des fichiers de leur employeur, la société de conseil PricewaterhouseCoopers.
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Ces fichiers montraient la pratique du Luxembourg consistant à accorder dans la plus grande opacité des avantages fiscaux (« rulings » en anglais) qui sont destinés aux multinationales. Cette pratique correspond à de la concurrence déloyale à l’égard des autres pays européens et nuit aux principes de l’harmonisation fiscale qui devrait dominer en Europe.
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Antoine Deltour et ses collègues ont été attaqués en justice avec un risque d’amende et d’emprisonnement. Leur rôle a été tout à fait salutaire pour lutter contre l’évasion fiscale en Europe. Il faudrait que les autorités européennes mettent leurs actes en accord avec leurs discours et reconnaissent le rôle des lanceurs d’alertes. Or, celles-ci, ainsi que le gouvernement français, viennent de soutenir une directive européenne sur le secret des affaires qui donnent la priorité aux intérêts des entreprises.

Robert : Quid d’une homogénéisation des pratiques fiscales au sein de l’UE ?

Dominique Plihon : L’harmonisation des pratiques et politiques fiscales est en effet une condition nécessaire pour stopper l’optimisation fiscale fondée, justement, sur les différences entre les Etats. Actuellement, une directive est en cours d’élaboration pour tenter d’harmoniser l’impôt sur les sociétés dans l’Union européenne.
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Mais, pour être efficace, il faudrait que cette politique harmonise à la fois les taux d’imposition et l’assiette fiscale, ce qui ne semble pas être le cas à ce stade d’élaboration. L’Union européenne ne pourra fonctionner correctement que si elle se dote d’une fiscalité harmonisée. On en est encore très loin…

Youssef : Pensez-vous que la lutte contre l’évasion fiscale est vaine étant donné que nous avons des paradis fiscaux au cœur de l’Europe mais aussi au cœur de la zone euros ?

Dominique Plihon : Il est en effet anormal que les autorités européennes tolèrent des paradis fiscaux au sein même de l’UE, ce qui est une sorte de « cancer » qui mine de l’intérieur la construction européenne. On observe des contradictions.
D’un côté, l’Irlande est frappée d’une amende de 13 milliards d’euros pour ses largesses fiscales à l’égard de la société Apple, ce que refuse le gouvernement irlandais. Et, d’un autre côté, on vient d’apprendre que la Commission n’agit pas à l’égard de paradis fiscaux tels que, selon moi, la zone franche de Madère, au motif que le gouvernement portugais a une politique fiscale jugée satisfaisante.
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Il faudrait éradiquer tous les paradis fiscaux à l’intérieur de l’Union européenne. L’argument souvent opposé est que les sociétés iront alors s’installer à l’extérieur de l’UE. Une solution est d’élaborer une loi fiscale comparable à celle des Etats-Unis, la loi FATCA élaborée sous l’administration de Barack Obama et menacée par celle de Donald Trump. Cette loi FATCA consiste à obliger toutes les banques dans le monde à déclarer les revenus qu’elles reçoivent des ressortissants américains, ce qui permet à l’administration fiscale américaine de lutter efficacement contre l’évasion fiscale.

Catherine : Comment peut-on faire pression en tant que citoyen pour aider les politiques à prendre cette question au sérieux ?

Dominique Plihon : La pression citoyenne a un rôle majeur à jouer pour lutter contre l’évasion fiscale. Les lanceurs d’alertes, qui sont des citoyens courageux, en sont une première illustration. Les campagnes lancées par la plate-forme des « paradis fiscaux et judiciaires » qui rassemble une vingtaine d’ONG en France ont une certaine efficacité, c’est elle qui a obtenu que l’obligation de « reporting » dans les paradis fiscaux soit inscrite dans la loi bancaire française de 2013 et reconnue comme utile par les autorités européennes.

Marion : Pensez-vous que le projet BEPS (acronyme qui signifie en français « lutte contre l’érosion de la base fiscale ») de l’OCDE soit possible à mettre en place et suffisant pour réduire l’optimisation fiscale ?

Dominique Plihon : Le projet BEPS va dans le bon sens dans la mesure où il cherche à accroître la transparence des pratiques fiscales, ce qui est une première étape pour lutter contre l’optimisation fiscale, qui est une forme d’évasion qui consiste à profiter des différences entre les législations fiscales nationales pour réduire le paiement des impôts. Par exemple en localisant ou en transférant les profits des entreprises vers les « paradis fiscaux » où le taux d’imposition des profits est faible, voire nul. C’est le cas par exemple à Madère dont Le Mondeparle aujourd’hui.
Le programme BEPS est toutefois insuffisant pour stopper certaines formes d’évasion fiscale. Il faudrait aller plus loin que les simples échanges d’informations qu’il prévoit et prendre, par exemple, les mesures suivantes, qui seraient beaucoup plus efficaces, beaucoup plus contraignantes :
  • à l’échelle de la France ou de l’Europe, imposer un « reporting » (rapport) pays par pays aux banques et aux entreprises transnationales concernant leurs opérations dans leurs filiales à l’étranger, et en particulier dans les paradis fiscaux. Cette disposition est déjà prévue par la loi bancaire française de 2012, mais le gouvernement vient de reculer devant la demande des ONG de rendre publics ces « reportings », ce qui aurait été un moyen de pression considérable à l’égard des entreprises et des banques qui pratiquent l’évasion fiscale.
  • à l’échelle mondiale, créer un registre mondial public afin de connaître les propriétaires effectifs des trusts et autres montages juridiques qui sont parmi les principaux canaux de l’évasion ou l’optimisation fiscales

13 de septiembre de 2017


La Russie-Chine prépare "Final Death Blow" pour AmériqueAlors que les armées massives se retrouvent L'Europe 
Par: Sorcha Faal, et tel que rapporté à ses abonnés de l'Ouest
Alors que les armées massives de la Fédération de Russie et des États-Unis et de l'OTAN se réunissent sur les champs de bataille d'Europe aujourd'hui , un nouveau rapport sur le Conseil de sécurité ( SC ) circulant au Kremlin aujourd'hui confirme tout ce qui s'est longtemps répandu comme vrai - et c'est La Russie et la Chine se préparent à livrer le « coup de mort final » en Amérique dont cette nation ne peut jamais se remettre de notre vie. Note: Certains mots et / ou phrases apparaissant entre guillemets dans ce rapport sont des approximations en anglais de mots / phrases russes n'ayant pas de contrepartie exacte.]


Selon ce rapport, lors du sommet du BRICS 2017 la semaine dernière en Chine , les " parties concernées " ont accepté de lancer une grève économique de représailles contre les États-Unis à moins que les Américains n'acceptent deux demandes: 1.) Les Américains stabilisent immédiatement l'effondrement du dollar américain - et - 2.) Les Américains font un effort soutenu et concentré pour maintenir leur limite de dette nationale inférieure à 20 billions de dollars. 


L' accord Plaza , explique ce rapport, est l'accord de 1985 entre les gouvernements des États-Unis , de la France , de l'Allemagne de l'Ouest , du Japon et du Royaume-Uni , pour déprécier le dollar américain par rapport au yen japonais et au Deutsche Mark allemand par leur intervenant délibérément sur les marchés mondiaux de l'argent afin de manipuler la vraie « valeur / valeur » de ces monnaies - et cela a été commis en violation flagrante de l' Accord de Bretton Woods de 1947qui exigeait que toutes les devises soient liées au prix de l'or - le dollar américain étant placé comme la seule monnaie de réserve à utiliser dans toutes les transactions internationales.
Pire encore, ce rapport détaille, lorsqu'il est combiné avec le " Nixon Shock " de 1971 (lorsque le président Richard Nixon a annoncé abruptement que les États-Unis paieraient plus longtemps leurs dettes internationales en or), l' Accord Plaza a solidifié ce qu'on appelle le " système pétrodollaire " et cela exigeait qu'aucune nation sur Terre ne puisse acheter du pétrole ou du gaz naturel, à moins qu'ils ne les payent avec des dollars américains qui ne pourraient être obtenus que par les États-Unis,mais dont la parcelle diabolique était, en fait, une subvention accordée, en termes réels, aux pays importateurs de pétrole comme les États-Unis , l' Allemagne , la France et le Japon .


Chaque pays important du pétrole et du gaz naturel sur Terre doit acheter des dollars américains pour survivre, ce rapport continue, les États-Unis , depuis près de quatre décennies, ont pu utiliser ce vaste programme de création d'argent pour construire le monde la plus grande force militaire pour maintenir son « système pétrodollaire» en vigueur, mais qui a tellement déformé toute la réalité économique rationnelle, ses statistiques dystopiques boggle l'esprit en essayant de les comprendre car les Américains ont créé la plus grande crise pour faire face à notre monde et dont les catastrophes comprennent :
Une dette globale de 230 billions de dollars - qui ne peut jamais être remboursée, ni financée lorsque les taux sont normalisés
Passif global non financé de 250 billions de dollars - qui ne sera jamais honoré
Les bilans des banques centrales dépassent les 20 billions de dollars - parce qu'ils sont tous insolvables
US insolvable - et seulement soutenu par le pouvoir militaire
La plupart des pays industrialisés et émergents survivent uniquement en imprimant de l'argent hors de l'air - ce qui est intenable
Taux d'intérêt égal ou inférieur à 20 pays alignés aux États-Unis - ce qui est insoutenable
Système de billets d'argent - dont   toutesles monnaies vont à zéro

On s'en fout?

Un « coup de mort final » en Amérique est donc immédiatement nécessaire, affirme ce rapport, afin de sauver notre monde d'un effondrement économique total - et dont la « forme / forme » commencera, le 18 octobre, lorsque la Chine aura ses 5 ans - Congrès du parti communiste annuel - et où la Chine (le plus grand importateur de pétrole au monde) lancera un contrat à terme de pétrole brut dénommé en yuan chinois et convertible en or - créant ainsi le benchmark pétrole asiatique le plus important et permettant aux exportateurs de pétrole de contourner pour toujours le « système pétrodollaire » .

Qui se soucie, vous demandez?   Ces gars le font!

Avec la Chine , en effet, le retour du monde à son Accord de Bretton Woods de 1947 « état / condition » où l'or et l'or sont utilisés pour régler les dettes internationales pour le paiement du pétrole et du gaz naturel, note le rapport, le Trésor américain du président Trump Le secrétaire Steven Mnuchin a été précipité au dépôt principal d'or des États-Unis à Fort Knox (Kentucky) pour examiner son contenu et était la première fois depuis 1948 que tout secrétaire du Trésor américain l'avait fait .
Quant à la raison pour laquelle le président Trump a ordonné pour la première fois en 69 ans que l'or des Amériques dans Fort Knox soit vérifié comme étant vraiment présent, ce rapport explique, est due aux États-Unis avec suspicion et mystérieusement, en continuant à perdre ses rapports annuels de vérification Fort Knox mandaté par la loi des États-Unis - avec de nombreux experts estimant qu'il était secrètement vendu au milieu des années 1970 à lasuite du « Nixon Shock », solidifiant ainsi le « système pétrodollaire ».


Si les réserves d'or des États-Unis ont vraiment disparu, ce rapport note que son économie va immédiatement s'écraser car il ne sera pas en mesure d'acheter la monnaie chinoise dont il aurait besoin en pétrole sur le marché international et qu'il ne pourra pas non plus remplacer avec ses propres réserves de pétrole, car presque toutes les sociétés d'énergie cotées en bourse aux États-Unis dépensent maintenant 75% de leurs flux de trésorerie opérationnels pour payer les intérêts sur la dette qu'ils doivent .
Pour que les États-Unis puissent continuer leur charada « système pétrodollaire » avec l' Arabie saoudite , ce rapport continue, semble être très peu probable car les réserves de change de ce pays de Moyen-Orient ont maintenant plongé au-dessous du niveau critique de 500 milliards de dollars et se situent actuellement à 494 milliards de dollars, et qui négocient ouvertement avec la Chine pour remplacer le dollar américain pour l'achat de ses vastes richesses pétrolières et dont le seul espoir pour la survie à long terme est de vendre une participation de 5% à son près de cent Saudi Arabian Oil Company ( Saudi Aramco ) qu'elle aévalué entre 1,5 et 2 billions de dollars - et que la Russie manœuvre d'acheter , et la Chine aussi.


Les Etats-Unis savent donc que leur « système pétrodollaire » est en voie d'effondrement total, annonce ce rapport, son incapacité à payer avec de l'or pour le pétrole dont il a besoin avant que son économie ne s'effondre sur lui-même et, combinée à ses propres producteurs nationaux d'hydrocarbures en faillite, montre clairement que l'Amérique est maintenant dans ses « affres de mort » - et dont la seule option laissée pour survivre est la guerre.
Et avec les États-Unis qui inondent l'Amérique du Sud avec des troupes pour leur invasion planifiée du Venezuela ( qui ont les plus grandes réserves de pétrole sur Terre ) et dont les forces terroristes islamiques en Syrie ( le seul pays producteur de pétrole important dans la région de la Méditerranée orientale ) sont maintenant désespérément en train de voler cette richesse pétrolière des nations aussi , ce rapport continue brutalement, combiné avec les forces militaires massives qu'ils ont accumulées en Europe , tout ce qu'il faut maintenant est une étincelle pour déclencher la troisième guerre mondiale.


Bien que le ministre des Affaires étrangères Sergey Lavrov ait, une fois de plus, averti les Américains qu'ils violent le droit international en étant même en Syrie , indique ce rapport, les États-Unis continuent néanmoins à " échapper aveuglément " autour de ce qui semble être inconscient de la réalité que leurs terroristes islamistes sont presque totalement vaincus et qui ont seulement laissé à peine 15% du territoire qu'ils contrôlaient autrefois - tout cela a été possible grâce à l'immersion et à la destruction implacable de ces terroristes soutenus par les États-Unis dont la défaite totale imminente marque un tournant point dans le Moyen-Orient moderneMais, avec un grave nouvel avertissement, on émet maintenant que, dans leur Syrieperdue , les États-Unis vont désormais « cibler la Russie plus que jamais » .


Quant à qui, exactement, aux États-Unis " ciblera " la Russie , cependant, ce rapport conclut, reste incertain que de nouveaux rapports troublants proviennent de l'Amérique déclarent que le président Trump est maintenant isolé après que son garde du corps de longue date, Keith Schiller , a été contraint de La Maison Blanche - et par Trump étant si isolé maintenant, selon un des meilleurs experts politiques américains Roger Stone , ses ennemis « Deep State » mettent maintenant des quantités massives de drogues dans ses aliments et dans leur eau dans le cadre de leur intrigue pour le renverser un coup d'Etat en déclarant qu'il n'est plus mentalement capable de mener cette nation autrefois géniale . 


13 septembre 2017 © EU et US tous droits réservés.   L'autorisation d'utiliser ce rapport dans son intégralité est accordée sous la condition qu'elle soit reliée à sa source d'origine à WhatDoesItMean.Com. Le contenu Freebase est autorisé sous CC-BY et GFDL .
Note : De nombreux gouvernements et leurs services de renseignement font campagne activement contre les informations trouvées dans ces rapports afin de ne pas alerter leurs citoyens sur les nombreux changements catastrophiques de la Terre et les événements à venir, une attitude que les Sœurs de Sorcha Faal ne sont pas totalement en désaccord en croyant que Tout le monde humain a le droit de connaître la vérité.   En raison de nos conflits de missions avec ceux de ces gouvernements, les réponses de leurs «agents» ont été une campagne de désinformation / mauvaise orientation de longue date conçue pour nous discréditer, et d'autres comme nous, qui sont illustrés dans de nombreux endroits, y compris ICI .]
Note: Le site WhatDoesItMean.com a été créé et a fait don aux Sœurs de Sorcha Faal en 2003 par un petit groupe d'experts informatiques américains dirigé par le gourou de la technologie mondiale tardif Wayne Green (1922-2013) pour contrer la propagande utilisée par Ouest pour promouvoir leur invasion illégale de l'Irak en 2003.]
Note: Le mot Kremlin (forteresse dans une ville) tel qu'utilisé dans ce rapport se réfère aux citadelles russes, y compris dansMoscou, ayant des cathédrales dans lesquelles résident les moines Schema féminins (les religieuses orthodoxes), dont beaucoup sont consacrés à la mission des Sœurs de Sorcha Faal.]

4 de mayo de 2017

Porto Rico se déclare en situation de faillite






Vue de San Juan, capitale de Porto Rico, le 11 févrie2015 (AFP/PAUL J. RICHARDS



Le gouverneur de Porto Rico a demandé mercredi à ce que le territoire américain soit déclaré en situation de faillite, afin de pouvoir restructurer sa lourde dette de plus de 70 milliards de dollars.


C'est la plus grosse faillite d'une entité territoriale jamais déclarée aux Etats-Unis mais elle ne présente pas de risque systémique pour le système financier américain.


Parfois surnommé la "Grèce des Caraïbes", Porto Rico prend cette décision deux jours après la levée d'un moratoire sur les remboursements à ses créanciers.


"Face à la réalité du calendrier et l'élimination du moratoire (...), j'ai pris la décision de demander au Comité de supervision que Porto Rico puisse se placer sous la protection de l'article 3 (Title III) afin de pouvoir travailler à un plan structuré concernant le remboursement de la dette", a dit le gouverneur Ricardo Rossello lors d'une conférence de presse.
En se déclarant en faillite, le territoire pourra assurer la prestation des services essentiels à ses habitants, a-t-il affirmé.


Le territoire croule sous un endettement de quelque 70 milliards de dollars et a plusieurs fois manqué d'honorer des paiements. En juillet 2016, l'île, qui ne peut se mettre sous la protection de la même loi sur les faillites que les villes américaines, n'avait pas pu rembourser une échéance de deux milliards de dollars.


Votée par le Congrès américain à la mi-2016 pour pallier à cette impossibilité, la loi Promesa permet, sous son article 3, que le territoire puisse restructurer sa dette. Un comité de supervision est chargé des négociations et a la haute main sur les finances portoricaines. Il a présenté à la justice américaine la demande de Porto Rico peu après les déclarations du gouverneur.


Son président, José B. Carrión III, a expliqué que le comté avait estimé nécessaire que le gouvernement portoricain se déclare en faillite afin de protéger ses 3,5 millions d'habitants mais aussi dans l'intérêt des créanciers.


Selon les termes de cette demande, Porto Rico entend rembourser ses créanciers au rythme de près de 800 millions de dollars par an, a indiqué Ricardo Rossello, précisant que ceci représentait une décote de 80% par rapport au montant du remboursement précédemment accordé, avant son arrivée au pouvoir.


Mardi, plusieurs créanciers avaient refusé de ne se voir rembourser que la moitié de la valeur d'origine de leurs titres de dettes, comme proposé alors par le gouvernement de Porto Rico, préférant se tourner vers les tribunaux fédéraux à San Juan, sur l'île, et de New York pour réclamer le remboursement total.


La veille, le 1er mai, le moratoire sur le remboursement aux créanciers établi par la loi Promesa ("Puerto Rico Oversight, Management, and Economic Stability Act") avait été levé et des centaines de Portoricains étaient sortis manifester contre des mesures d'austérité proposées par le Comité de supervision.


"Ce processus de faillite est vital pour que Porto Rico puisse recevoir l'allégement de sa dette qu'on lui a promise", a réagi Eric LeCompte, directeur exécutif de Jubilee USA Network, une organisation spécialisée sur la question de la dette des pays pauvres.


Il pourra "ramener la dette à des niveaux soutenables, protéger les habitants les plus vulnérables et promouvoir la transparence", poursuit-il dans un communiqué.


Autrefois prospère, l'île de 3,5 millions d'habitants a amorcé son déclin économique en 2006 avec la fin d'exonérations fiscales massives qui avaient attiré de grandes multinationales et dopé l'activité. Depuis, la récession économique et la chute des recettes ont fait gonfler la dette du territoire.



AFP

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