Espanya té un problema, millor dit diversos grans problemes que ha de resoldre quan abans millor. El finançament de l'estat a causa del seu enorme dèficit públic causat per la corrupció que imupera en les seves institucions i pels contractes blindats de les grans empreses amb el govern. "Beneficis per a mi, deutes i pèrdues per als espanyols".
Una altra causa a combatre és una possible autodestrucció (catalunya al cap davant) on varies regions volen marxar, Valencia, pais Basc, Galizia, Balears...
El fet de que el govern espanyol es negui a dialogar amb les comunitats autònomes disidents atia encara més l'independentisme.
Limitar als governs autonòmics el financiament provocarà la seva desintegració en menys de un any. Aquedta desintegració pot desestabilitzar europa, i el responsable serà el govern de PP que mana a espanya.
On vas Espanya?
Translate
24 de noviembre de 2015
23 de noviembre de 2015
Catalogne : Madrid utilise l'arme financière pour faire céder les indépendantistes
Le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, veut faire céder la majorité indépendantiste catalane. (Crédits : reuters.com)
Catalogne : Madrid utilise l'arme financière pour faire céder les indépendantistes
Par Romaric Godin
La Tribune | 2015-11-23CET20:07:41+0100
L'Espagne sort l'arme financière contre la majorité parlementaire indépendantiste catalane. Ce week-end, le ministre espagnol du budget, Cristobal Montoro, a annoncé que la Catalogne devrait se soumettre à de « nouvelles conditions » pour avoir accès au Fonds de Liquidité des Autonomies (FLA). Pour la Catalogne, ce programme représente encore 3,03 milliards d'euros. Le FLA a été créé en 2012. Il s'agit de prêts consentis aux Communautés autonomes (régions) par l'Etat central pour éviter à ces dernières de lever des fonds sur les marchés.
Nouvelles conditions
Quelles seront ces nouvelles conditions ? Elles seront ouvertement politiques. Cristobal Montoro l'a clairement assumé. « Ces conditions prévoient des garanties pour que pas un euro n'aille vers des buts sécessionnistes », a indiqué le ministre. Le gouvernement catalan devra donc, pour toucher ces fonds, donner l'assurance qu'ils seront utilisés pour le fonctionnement des services publics et « nullement pour violer la constitution. » Cette décision « s'explique clairement par les circonstances politiques que connaît la Catalogne », a indiqué le ministre du Budget.
Mise sous tutelle de la Catalogne
Concrètement, ceci signifiera que le Trésor espagnol versera les fonds du FLA chaque mois après avoir obtenu le feu vers d'un contrôleur du gouvernement qui se sera assuré auprès du gouvernement catalan, la Generalitat, de la « validité » des dépenses engagées. Autrement dit, l'autonomie financière de la Catalogne est en partie réduite. Et cette décision pose un grave problème au gouvernement de Barcelone si ce dernier décide d'appliquer la résolution du parlement votée le 9 novembre dernier et ouvrant la voie à un processus de séparation avec l'Espagne. Cette résolution - qui a été suspendue le 11 novembre par le Tribunal constitutionnel espagnol - prévoit en effet la création de « structures d'Etat. » Si ces structures sont effectivement créées, Madrid pourrait en prendre prétexte pour suspendre les versements du FLA, ce qui placerait le gouvernement catalan en grande difficulté financière.
Asphyxie financière
Déjà, le secrétaire général du département catalan de l'Economie, Albert Carreras, a indiqué que ces nouvelles règles étaient « extrêmement confuses. » « Nous ne savons pas ce que nous pourrons payer et quand nous pourrons payer », a-t-il ajouté. C'est sans doute ce que cherche Madrid. Le gouvernement espagnol tente de saper les bases du soutien aux indépendantistes catalans en provoquant des retards de paiements et des dysfonctionnements dans les services publics. Cette mesure est aussi clairement un premier pas avant l'utilisation de l'article 155 de la Constitution qui permet de suspendre l'autonomie régionale. Mais le gouvernement espagnol hésite à utiliser cet article qui obligerait à prendre des mesures d'ordre public difficile à mettre en œuvre. Il préfère donc contourner la difficulté en asphyxiant financièrement le gouvernement catalan. En réalité, cette mesure est une forme d'article 155 financier. Il est bien plus efficace : nul besoin d'envoyer la garde civile au risque de provoquer une résistance des Catalans, il suffit de tenir les cordons de la Bourse.
La zizanie au sein du camp indépendantiste se poursuit
Face à une telle stratégie, le gouvernement catalan semble désarmé pour l'instant. Et la première raison en est qu'il n'est qu'un gouvernement de transition qui ne dispose pas du soutien du parlement. L'actuel président de la Generalitat, Artur Mas, a, par deux fois, échoué à être élu en raison de l'opposition du parti de gauche radicale indépendantiste, la CUP. Les discussions se poursuivent, mais aucune issue ne se profile. S'il n'y a pas de président élu le 10 janvier, il faudra procéder à de nouvelles élections en mars. En attendant, il est impossible pour un gouvernement en sursis d'appliquer la résolution indépendantiste. Cette division et les menaces de Madrid font peser un risque notable sur le score des sécessionnistes en cas de nouvelles élections.
Pressions financières
Les indépendantistes sont, de plus, désormais, sous plusieurs pressions économiques. Certaines associations d'entreprises ont signalé des départs de sociétés de la région par crainte de la sécession. Des chiffres qui sont cependant à prendre avec précaution, pour le moment. Vendredi 20 novembre, un think tank anti-indépendantiste, le Cercle d'Economia, a demandé aux politiques catalans de ne pas appliquer la résolution du 9 novembre. Plus grave sans doute, l'agence de notation Fitch a dégradé la note de la Catalogne au statut d'obligation « pourrie » (« junk bond ») en raison du risque indépendantiste. En réalité, Fitch semble surtout effrayé par l'influence de la CUP. Mais cette décision peut gêner l'accès de la Catalogne aux marchés.
Quelle réponse de la Catalogne ?
Ces menaces et pressions visent à interrompre rapidement le processus indépendantistes. Mais si les indépendantistes parviennent à s'entendre et décident d'appliquer leur résolution, alors ils s'estimeront en droit de placer « leurs » lois, celles votées par le parlement régional, avant les décisions de Madrid (ce sont les points 6 et 8 de la résolution). Dans le cas où la Catalogne est asphyxiée financièrement, elle pourrait être tentée de « réquisitionner » et de « nationaliser » l'administration fiscale pour faire cesser tout transfert vers Madrid.
Selon les indépendantistes, la Catalogne est une des régions d'Europe qui accuse un « déficit fiscal » (différence entre les impôts versés et les sommes reversées par l'Etat central) le plus élevé. Une telle réponse serait un acte fort de séparatisme et placerait l'Etat espagnol dans une situation difficile. Mais ce serait aussi l'entrée dans un territoire inconnu, car il n'est pas sûr que les fonctionnaires acceptent ce changement et que la police catalane fasse respecter les décisions du parlement catalan plutôt que ceux de Madrid. Dans ce cas, par ailleurs, l'usage de l'article 155 apparaîtrait comme inévitable. Plus que jamais donc, le fossé se creuse lentement, mais toujours un peu plus entre Barcelone et Madrid.
¿Existen civilizaciones extraterrestres en galaxias cercanas a la tierras?
¿Existen civilizaciones extraterrestres en galaxias cercanas a la tierras?
Visto en: Sabiens
EXOCIENCIA-EXOPOLÍTICA. ¿Existen civilizaciones extraterrestres en galaxias cercanas a la Tierra? ¿Cuántos exoplanetas hay? ¿Cómo se descubrieron? ¿Que encontraron?
Es posible saber si hay vida extraterrestre superdesarrollada en otras galaxias? Astrofísicos holandeses se han embarcado a responder esta interrogante y dan pistas sobre la posibilidad de conocer vida inteligente.
La opinión general del mundo científico sostiene que hay muchas probabilidades de encontrar vida inteligente extraterrestre en otras galaxias. Ahora, basándonos en esta afirmación, las interrogantes serían ¿qué tan avanzadas son estas civilizaciones?, ¿su tecnología es superior o inferior a la nuestra?
1. ¿HAY ALIENÍGENAS DESARROLLADOS EN GALAXIAS CERCANAS?
Sobre este asunto, el astrofísico de la Universidad de Leiden (Países Bajos), Michael Garrett, comentó en un artículo publicado en la revista Astronomy & Astrophysics que no hay muchas opciones de encontrar vida extraterrestre desarrollada. Para sostener esta teoría, el experto investigó una lista de galaxias candidatas que podrían albergar una avanzada civilización Kardashev tipo III.
“Otros estudios ya demostraron que es poco probable que existan galaxias avanzadas y nuestro estudio ha demostrado que, en realidad, la situación es aún peor, ya que concluimos que sería casi imposible encontrar una civilización avanzada de tipo III en la Escala de Kardashov en nuestro universo”, explicó.
2. LA ESCALA DE KARDASHOV
La Escala de Kardashov mide el grado de evolución tecnológica de las civilizaciones y las junta en 3 categorías, según la cantidad de energía que utilizan. Las civilizaciones de tipo I pueden usar toda la energía de su planeta, las del tipo II aprovechan toda la energía de su estrella y las de tipo III, de toda su galaxia. En ese sentido, la civilización humana sólo podría alcanzar el tipo I dentro de entre 100 y 200 años, informó Actualidad RT.
3. LA DUDA AÚN PREVALECE…
Los autores de esta investigación conluyen que no existen más civilizaciones avanzadas, debido a que no encontraron altos niveles de radiación térmica cerca de nuestra galaxia. Sin embargo, no descartan la existencia de civilizaciones menos avanzadas y estiman que resulta“preocupante” ver que no existan civilizaciones de tipo III, “o quizá son tan eficientes desde el punto de vista energético que casi no emiten calor residual”.
Más de 1.235 exoplanetas esperan para ser explorados fuera del sistema solar, según los científicos que manejan el telescopio espacial Kepler de la NASA Como referencia de tamaño podemos ver a nuestro sol en segunda fila con Júpiter y la Tierra pasando frente a la esfera. De los exoplanetas, 68 tienen un tamaño parecido al de la Tierra, 288 son supertierras, 662 tienen un tamaño similar a Júpiter y 19 son mayores que Júpiter.
Uno de los grandes héroes buscadores de exoplanetas es el telescopio espacial Kepler, de la NASA, que ha identificado 3588 candidatos hasta la fecha, de los cuales hasta ahora sólo se han confirmado 151.
Puede parecer mucho, 1000 planetas más allá de nuestro Sistema Solar, pero apenas si es un granillo de arena en la Vía Láctea, nuestra galaxia.
En la actualidad no hay construido ningún telescopio capaz de fotografiar el disco de una estrella, están tan lejos que solo se ven como un punto sin dimensiones. Entonces ¿cómo se descubren los exoplanetas? Es evidente que si no se ve el disco de la estrella es más difícil ver el del planeta. Para descubrirlos se emplean métodos indirectos: variaciones en la luminosidad y en el movimiento de la estrella. Órbita de un planeta alrededor de una estrella.
Si se tiene la suerte de que el planeta, visto desde la Tierra, cruza por delante de la estrella, durante el tiempo que pasa por delante oculta ligeramente a la estrella, lo que produce una pequeñísima disminución de su brillo. La variación del brillo da información adicional sobre el tamaño de la estrella, del planeta, la distancia a la que se mueve…
Bibliografía:
http://www.muyinteresante.es/ciencia/articulo/icuantos-exoplanetas-hay-ahi-fuera
"No se puede votar con quien está amenazando con suspendernos la autonomía"
El diputado de Catalunya Sí que Es Pot, Joan Giner, considera que, por coherencia con el programa, su grupo debía haberse abstenido en la votación sobre la declaración independentista de JxSí y la CUP
Pide flexibilidad a los independentistas para llamar a otros sectores a construir un nuevo país: "La CUP se debe abrir a la parte de la sociedad a donde nosotros llegamos y ellos no"
"Estoy dispuesto a la desobediencia, no para la independencia, sino para el derecho de autodeterminación", considera Giner, quien opina que el referéndum pactado puede llegar tras una victoria de Podemos el 20-D
Joan Giner (Cornellà, 1989) acudió a la primera asamblea de Podem hace un año y medio, y hoy es diputado de Catalunya Sí que es Pot en el Parlament. Su nombre saltó a los medios por haber denunciado en su blog que recibió amenazas de expulsión del grupo si se abstenía ante la declaración de inicio del proceso de independencia de Junts pel Sí y la CUP, una postura que él defendía. Giner asegura que su intención era abrir un debate en el seno de su formación sobre qué postura debían tomar respecto al proceso independentista, con la máxima de romper la política de dos bloques que augura para esta legislatura del Parlament.
¿Por qué pensaba que su grupo debía abstenerse sobre la declaración independentista de JxSí y la CUP?
La propuesta de Junts pel Sí y la CUP tenía puntos positivos y puntos negativos. Esta propuesta no contempla el referéndum vinculante, que es básico y lo más transversal en la sociedad catalana. Es un error garrafal. Además interpela solo al mundo independentista, algo que es legítimo, pero un error. No se puede olvidar a quien quiere una República catalana federal y confederal, porque se pierde la capacidad de llegar a la mayoría social. Pero, por otro lado, habla de un proceso constituyente abierto y popular, que es algo que nostros llevamos en el programa.
Propuso la abstención en el debate interno del grupo. ¿Qué pasó después?
Hubo un debate y no hubo acuerdo. Yo defendía la postura de la abstención, había otros diputados con dudas y otros que tenían muy claro el no. A final el "no" resultó mayoritario. Creo que, si este grupo quiere referirse a la mayoría de la población, quiere interpelar a ese 80% a favor del derecho a decidir, debe ser plural. Para abrir ese espacio hay que representar a gente que está en diferentes sectores. Durante todos estos días he recibido críticas, pero también he recibido apoyos de mucha gente, no solo catalana, también del Estado, que tiene claro que PP, PSC y Ciutadans son los partidos del búnquer. Por eso sorprende que en Catalunya esto no se tenga tan claro. Yo creo que es un momento para ser valientes.
Mucha gente se pregunta: ¿Por qué no se abstuvo si pensaba que se debía abstener?
Porque formo parte de un proyecto colectivo y este debate no está cerrado. Si tuvieramos un debate amplio, participado por los espacios de base, que diesen un mandato claro… Al final romper la disciplina de voto de un grupo no hubiera sido coherente. Tambien tuvieron que ver las presiones que recibí dentro del grupo, claro.
¿Cómo fueron estas presiones?
Las que aparecían en el blog: "Si te abstienes puedes quedar fuera del grupo". Luego me llamaron de la dirección de Podemos para decirme que acatara. Y ya está, no fue más. Pero al final hemos de tener actitudes constructivas y comenzar debates. Una cosa es que haya divergencias internas y otra que no pueda haber debates. Este es un debate en el que yo creo que ganaría la postura que defiendo, porque es de sentido común, y creo que en el Estado se está abordando mejor que en Catalunya. Ahora mismo, ningún miedo al debate.
Había dos propuestas no tan lejanas. ¿Porqué no hubo diálogo entre CSQEP y JxSí y la CUP?
La política de bloques le sirve a los dos bloques. La propuesta de JxSí y la CUP tenía una óptica de bloque. Y les interesaba que fuese así. Hubo falta de voluntad por todos los lados, pero yo creo que más por la de Junts pel Sí y la CUP. Pero esperemos que en un futuro no sea así. No solo esperemos, sino que es la única forma. La CUP se debe de abrir a la parte de la sociedad a donde nosotros llegamos y ellos no. Nuestro resultado no fue bueno, eso lo sabe todo el mundo. Pero en Cornellà, 18% de voto. En Badia, un 19%, en el Prat un 17%. Somos una fuerza real en todos estos pueblos, esta es la gente a la que se debe interpelar si se quiere construir un nuevo país, en un proceso constituyente.
Al final presentan una propuesta alternativa, ¿con qué objetivo?
Entendimos que debíamos plantear una contrapropuesta con una ruta viable, más viable que la otra. Básicamente tiene un horizonte diferente con esta, que es el horizonte del 20-D. Creemos que el 20-D puede haber cambios importantes en la correlación de fuerzas de España, y que la salida más práctica para Catalunya es un acuerdo. No es una posibilidad remota, es algo que puede pasar en un mes.
¿Cree que es posible que haya mayoría absoluta de Podemos el 20-D?
Creo que Podemos puede ganar las elecciones. Y si gana las elecciones puede hacer una reforma de la ley de referéndums. Con voluntad política se puede incluso considerar vinculante. Los catalanes somos muy prácticos, la gente que quiere un cambio en Catalunya ha de entender que la candidatura de En Comú Podem, que es un proyecto que está surgiendo, es la candidatura más útil para hacer este cambio en el Estado español. El voto útil para el cambio es ese, y vale para independentistas, para federalistas o para gente que simplemente quiere un referéndum.
Depende, aquí hay dos escenarios, dependiendo de la correlación de fuerzas que salga del 20-D. Pero de cualquier manera lo que habrá que hacer es seguir insistiendo en la necesidad del referéndum. Nuestra propuesta habla de subir el tono de la movilización, y si hay que hacer desobediencia se hace. Estoy dispuesto a la desobediencia, no para la independencia, sino para el derecho de autodeterminación. En un país normal no tendríamos que desobedecer nada, pero cuando hay leyes injustas, yo creo que es legítimo. Si no los negros todavía irían en la parte de atrás de los autobuses y las mujeres no votarían nunca.
Si el proceso constituyente del que habla la declaración de JxSí y la CUP se comienza, ¿cree que CSQEP debería participar?
Catalunya Sí Que es Pot, obviamente, ha de participar, es el punto central de nuestro programa. Pero no solo nosotros, todo el mundo debería de participar. Por eso considero que el voto negativo en bloque era un error. No podemos poner piedras delante de lo que puede ser un proceso constituyente real. Es que en nuestro progama hablamos de "proceso constituyente, no subordinado", tal cual.
Ha habido declaraciones de miembros de Catalunya Sí que es Pot en sentido contrario. Por ejemplo, Coscubiela aseguró que no podía haber un proceso constituyente solo en Catalunya.
Pues que se lea el programa. El programa está muy claro y es un acuerdo de todos. Mi postura respecto a la abste es seguir el programa, no me estoy inventado nada.
¿Cree que se encontrará a partir de ahora con más votaciones en las que no esté de acuerdo con la votación del grupo?
A mi me interesaba abrir el debate sobre esta cuestión, y creo que se abierto. Aquí las posturas están claras. Creo que la línea que seguiremos a partir de ahora será más cercana a la que yo propuse, que es la que saldrá de este debate.
Entrevista a Zoe Konstantopoulou, expresidenta del Parlament grec que va abandonar Syriza:
Entrevista a Zoe Konstantopoulou, expresidenta del Parlament grec que va abandonar Syriza: "Els treballs del comitè que va auditar el deute grec van revelar que els rescats no eren per salvar el poble oa l'economia grega, sinó als bancs francesos i alemanys"
Zoe Konstantopoulou va ser presidenta del Parlament grec entre febrer i octubre d'aquest any, càrrec des del qual va impulsar el comitè que va auditar el deute públic grec. Els treballs del comitè van durar tres mesos i van finalitzar en plena negociació d'Alexis Tsipras amb l'Eurogrup. La seva tasca no va ser suficient per aconseguir un acord favorable a les pretensions inicials del govern hel·lè, malgrat el referèndum que va donar un rotund 'no' a les condicions dels creditors. Konstantopoulou va ser una de les diputades rebels de Syriza que va votar en contra de l'acord amb la troica. De fet, el va qualificar de "genocidi social". Després de la seva marxa de Syriza va donar suport a la formació Unitat Popular, que no va aconseguir entrar al Parlament en les eleccions del passat mes de setembre. Konstantopoulou ha visitat Barcelona per participar en les jornades que volen teixir un projecte comú per deute europeu.
Les conferències d'aquest dissabte enfoquen cap a una solució europea a la crisi de deute. ¿La crisi grega ha constatat que un Estat en solitari no pot?
La solució serà més justa com més global i més col·lectiva sigui. Fins ara, els pobles i els països han estat victimitzats a través del deute. La gent està patint per pagar un deute que no és seva, i si no abordem el problema a nivell europeu tindrem a més d'una generació perduda a Europa i una desigualtat encara més acusada. El futur d'Europa no pot ser una victòria dels oligarques i dels bancs sobre la gent corrent. Hem de trobar una solució europea, i fins i tot que superi les fronteres del continent i que estableixi criteris universals.
Sota quins criteris va treballar el comitè que va auditar el deute grec?
El comitè va treballar sota els criteris i els principis de les Nacions Unides per a la reestructuració del deute. La conclusió va ser que el deute grec ha estat insostenible des de 2010 i que els creditors, és a dir, el Fons Monetari Internacional, la Comissió Europea i el Banc Central Europeu, ho sabien.
Què vol dir que el deute és insostenible?
Significa que no pot ser retornada sense minar els drets bàsics de la població: sanitat, educació, habitatge, etc. Els creditors, sabent d'aquesta situació, van sobrecarregar a Grècia amb més préstecs, el que va significar més deute. Això constitueix una prova de la mala fe dels creditors i la base per declarar el deute odiós i anul·lar-la. És més, gran part del deute ha estat producte de tractes i pràctiques corruptes entre anteriors governs grecs i companyies internacionals, també connectades amb altres països.
En el conflicte que vostè planteja entre deute i drets humans, estan perdent els drets humans?
Quan el tema del deute es converteix en un tema de jerarquia legal internacional no hi ha arguments per justificar que es soscavin els drets humans per prioritzar qualsevol tipus de pagament. Els drets humans i els vides humanes han de prioritzar sempre. L'estat té l'obligació de protegir en primer lloc a la seva població, garantir els drets del seu poble, abans que les obligacions cursades en frau de llei amb els creditors, com ha estat el cas grec. A més, part del deute grec vinculada als memoràndums és resultat de procediments il·legals i inconstitucionals. Una altra raó per considerar-la il·legal i odiosa.
Vostè va ser molt dura amb l'acord subscrit per Tsipras i els creditors. Per que va optar per anar-se'n de Syriza?
Per desgràcia Tsipras no va usar els resultats del comitè del deute de cap manera. Des del moment en què se li van lliurar els resultats, Tsipras sap que el deute grec és il·legal i no s'ha de pagar. No obstant això, no va usar per res l'informe del comitè en les seves negociacions amb els creditors, encara que es va provar que l'informe produïa resultats, ja que és el primer document oficial que revelava els documents secrets i confidencials de l'FMI que provaven que el Fons sabia que el deute grec era insostenible des de 2010 i, que no obstant, va formular més préstecs. És més, els treballs del comitè van revelar que els rescats no eren per salvar el poble oa l'economia grega, sinó als bancs francesos i alemanys que posseïen milions d'euros en bons grecs.
Per què Tsipras no va usar aquesta informació?
Aquesta és una pregunta que jo no sé contestar i que Tsipras ni el seu Govern tampoc han contestat. Però hi ha més preguntes sense resposta. Tsipras tampoc ha contestat per què va fer cas omís a l'informe de l'FMI del 26 de juny, el primer document en el qual admet que el deute grec és insostenible i que no es pot pagar. Però és que hi ha un altre document de l'FMI en aquesta direcció del 14 de juliol. Tsipras no va usar aquesta eina per abolir el deute. No tinc una resposta sobre per què va fer això.
¿L'acord signat va ser una capitulació?
Va ser una capitulació que encara ningú ha explicat. No té cap sentit que quatre dies després de la victòria del 'no' al referèndum Tsipras portés al Parlament una llei que donava poders al Govern per negociar un tracte gairebé idèntic a les mesures que es van rebutjar en el referèndum. Tsipras va argumentar que era per la seva protecció i que era el més lluny que arribaria. No obstant això, la realitat va mostrar que va ser molt més lluny, i es va signar un acord neoliberal molt més antisocial que va empitjorar la misèria de la societat grega.
Com ha paït la societat grega la signatura del rescat?
La gent encara està impactada i confusa pel que ha passat. Moltes persones necessitaran encara més temps per comprendre el que va passar. Cal tenir en compte que moltes persones que van lluitar per deixar enrere els memoràndums i restablir la democràcia van veure com es signava el memoràndum i s'abandonava a la democràcia. Crec que va ser un xoc i un trauma per a molta gent. Mostra d'això va ser l'abstenció de gairebé un 50% en les eleccions del setembre, que van ser dissenyades ràpidament per treure forces als crítics amb Tsipras i als que defensàvem el programa amb què l'esquerra havia sortit escollida.
¿Grècia ha perdut l'esperança?
L'esperança mai es perd. Hi haurà esperança mentre hi hagi gent, que n'hi ha, i molts joves determinats per lluitar per les seves vides, pels seus drets i la seva dignitat.
Tsipras sabe que la deuda griega es ilegal y no se debe pagar
Entrevista a Zoe Konstantopoulou, expresidenta del Parlamento griego que abandonó Syriza: "Los trabajos del comité que auditó la deuda griega revelaron que los rescates no eran para salvar al pueblo o a la economía griega, sino a los bancos franceses y alemanes"
Zoe Konstantopoulou fue presidenta del Parlamento griego entre febrero y octubre de este año, cargo desde el que impulsó el comité que auditó la deuda pública griega. Los trabajos del comité duraron tres meses y finalizaron en plena negociación de Alexis Tsipras con el Eurogrupo. Su labor no fue suficiente para lograr una acuerdo favorable a las pretensiones iniciales del gobierno heleno, pese al referéndum que dio un rotundo 'no' a las condiciones de los acreedores. Konstantopoulou fue una de las diputadas rebeldes de Syriza que votó en contra del acuerdo con la troika. De hecho, lo calificó de "genocidio social". Tras su marcha de Syriza apoyó a la formación Unidad Popular, que no logró entrar en el Parlamento en las elecciones del pasado mes de septiembre. Konstantopoulou ha visitado Barcelona para participar en las jornadas que quieren tejer un proyecto común para la deuda europea.
Las conferencias de este sábado enfocan hacia una solución europea a la crisis de deuda. ¿La crisis griega ha constatado que un Estado en solitario no puede?
La solución será más justa cuanto más global y más colectiva sea. Hasta ahora, los pueblos y los países han sido victimizados a través de la deuda. La gente está sufriendo para pagar una deuda que no es suya, y si no abordamos el problema a nivel europeo tendremos a más de una generación perdida en Europa y una desigualdad todavía más acusada. El futuro de Europa no puede ser una victoria de los oligarcas y de los bancos sobre la gente corriente. Tenemos que encontrar una solución europea, e incluso que supere las fronteras del continente y que establezca criterios universales.
¿Bajo qué criterios trabajó el comité que auditó la deuda griega?
El comité trabajó bajo los criterios y los principios de Naciones Unidas para la reestructuración de la deuda. La conclusión fue que la deuda griega ha sido insostenible desde 2010 y que los acreedores, es decir, el Fondo Monetario Internacional, la Comisión Europea y el Banco Central Europeo, lo sabían.
¿Qué quiere decir que la deuda es insostenible?
Significa que no puede ser devuelta sin minar los derechos básicos de la población: sanidad, educación, vivienda, etc. Los acreedores, sabiendo de esta situación, sobrecargaron a Grecia con más préstamos, lo que significó más deuda. Esto constituye una prueba de la mala fe de los acreedores y la base para declarar la deuda odiosa y anularla. Es más, gran parte de la deuda ha sido producto de tratos y prácticas corruptas entre anteriores gobiernos griegos y compañías internacionales, también conectadas con otros países.
En el conflicto que usted plantea entre deuda y derechos humanos, ¿están perdiendo los derechos humanos?
Cuando el tema de la deuda se convierte en un tema de jerarquía legal internacional no hay argumentos para justificar que se socaven los derechos humanos para priorizar cualquier tipo de pago. Los derechos humanos y los vidas humanas deben priorizarse siempre. El estado tiene la obligación de proteger en primer lugar a su población, garantizar los derechos de su pueblo, antes que las obligaciones cursadas en fraude de ley con los acreedores, como ha sido el caso griego. Además, parte de la deuda griega vinculada a los memorandums es resultado de procedimientos ilegales e inconstitucionales. Otra razón para considerarla ilegal y odiosa.
Usted fue muy dura con el acuerdo suscrito por Tsipras y los acreedores. ¿Por que optó por irse de Syriza?
Por desgracia Tsipras no usó los resultados del comité de la deuda de ninguna manera. Desde el momento en que se le entregaron los resultados, Tsipras sabe que la deuda griega es ilegal y no se debe pagar. Sin embargo, no usó para nada el informe del comité en sus negociaciones con los acreedores, aunque se probó que el informe producía resultados, ya que es el primer documento oficial que revelaba los documentos secretos y confidenciales del FMI que probaban que el Fondo sabía que la deuda griega era insostenible desde 2010 y, que no obstante, formuló más préstamos. Es más, los trabajos del comité revelaron que los rescates no eran para salvar al pueblo o a la economía griega, sino a los bancos franceses y alemanes que poseían millones de euros en bonos griegos.
¿Por qué Tsipras no usó esa información?
Esa es una pregunta que yo no sé contestar y que Tsipras ni su Gobierno tampoco han contestado. Pero hay más preguntas sin respuesta. Tsipras tampoco ha contestado por qué hizo caso omiso al informe del FMI del 26 de junio, el primer documento en el que admite que la deuda griega es insostenible y que no se puede pagar. Pero es que hay otro documento del FMI en esta dirección del 14 de julio. Tsipras no usó esa herramienta para abolir la deuda. No tengo una respuesta sobre por qué hizo esto.
¿El acuerdo firmado fue una capitulación?
Fue una capitulación que todavía nadie ha explicado. No tiene ningún sentido que cuatro días después de la victoria del 'no' en el referéndum Tsipras llevase al Parlamento una ley que daba poderes al Gobierno para negociar un trato casi idéntico a las medidas que se rechazaron en el referéndum. Tsipras argumentó que era para su protección y que era lo más lejos que llegaría. No obstante, la realidad mostró que fue mucho mas lejos, y se firmó un acuerdo neoliberal mucho más antisocial que recrudeció la miseria de la sociedad griega.
Zoe Konstantopoulou en un momento de la entrevista SANDRA LÁZARO
¿Cómo ha digerido la sociedad griega la firma del rescate?
La gente todavía está impactada y confusa por lo que ha pasado. Muchas personas necesitarán todavía más tiempo para comprender lo que pasó. Hay que tener en cuenta que muchas personas que lucharon para dejar atrás los memorandums y restablecer la democracia vieron cómo se firmaba el memorándum y se abandonaba a la democracia. Creo que fue un shock y un trauma para mucha gente. Muestra de ello fue la abstención de casi un 50% en las elecciones del septiembre, que fueron diseñadas rápidamente para quitar fuerzas a los críticos con Tsipras y a los que defendíamos el programa con el que la izquierda había salido elegida.
¿Grecia ha perdido la esperanza?
La esperanza nunca se pierde. Habrá esperanza mientras haya gente, que la hay, y muchos jóvenes determinados para luchar por sus vidas, por sus derechos y su dignidad.
Zoe Konstantopoulou fue presidenta del Parlamento griego entre febrero y octubre de este año, cargo desde el que impulsó el comité que auditó la deuda pública griega. Los trabajos del comité duraron tres meses y finalizaron en plena negociación de Alexis Tsipras con el Eurogrupo. Su labor no fue suficiente para lograr una acuerdo favorable a las pretensiones iniciales del gobierno heleno, pese al referéndum que dio un rotundo 'no' a las condiciones de los acreedores. Konstantopoulou fue una de las diputadas rebeldes de Syriza que votó en contra del acuerdo con la troika. De hecho, lo calificó de "genocidio social". Tras su marcha de Syriza apoyó a la formación Unidad Popular, que no logró entrar en el Parlamento en las elecciones del pasado mes de septiembre. Konstantopoulou ha visitado Barcelona para participar en las jornadas que quieren tejer un proyecto común para la deuda europea.
Las conferencias de este sábado enfocan hacia una solución europea a la crisis de deuda. ¿La crisis griega ha constatado que un Estado en solitario no puede?
La solución será más justa cuanto más global y más colectiva sea. Hasta ahora, los pueblos y los países han sido victimizados a través de la deuda. La gente está sufriendo para pagar una deuda que no es suya, y si no abordamos el problema a nivel europeo tendremos a más de una generación perdida en Europa y una desigualdad todavía más acusada. El futuro de Europa no puede ser una victoria de los oligarcas y de los bancos sobre la gente corriente. Tenemos que encontrar una solución europea, e incluso que supere las fronteras del continente y que establezca criterios universales.
¿Bajo qué criterios trabajó el comité que auditó la deuda griega?
El comité trabajó bajo los criterios y los principios de Naciones Unidas para la reestructuración de la deuda. La conclusión fue que la deuda griega ha sido insostenible desde 2010 y que los acreedores, es decir, el Fondo Monetario Internacional, la Comisión Europea y el Banco Central Europeo, lo sabían.
¿Qué quiere decir que la deuda es insostenible?
Significa que no puede ser devuelta sin minar los derechos básicos de la población: sanidad, educación, vivienda, etc. Los acreedores, sabiendo de esta situación, sobrecargaron a Grecia con más préstamos, lo que significó más deuda. Esto constituye una prueba de la mala fe de los acreedores y la base para declarar la deuda odiosa y anularla. Es más, gran parte de la deuda ha sido producto de tratos y prácticas corruptas entre anteriores gobiernos griegos y compañías internacionales, también conectadas con otros países.
En el conflicto que usted plantea entre deuda y derechos humanos, ¿están perdiendo los derechos humanos?
Cuando el tema de la deuda se convierte en un tema de jerarquía legal internacional no hay argumentos para justificar que se socaven los derechos humanos para priorizar cualquier tipo de pago. Los derechos humanos y los vidas humanas deben priorizarse siempre. El estado tiene la obligación de proteger en primer lugar a su población, garantizar los derechos de su pueblo, antes que las obligaciones cursadas en fraude de ley con los acreedores, como ha sido el caso griego. Además, parte de la deuda griega vinculada a los memorandums es resultado de procedimientos ilegales e inconstitucionales. Otra razón para considerarla ilegal y odiosa.
Usted fue muy dura con el acuerdo suscrito por Tsipras y los acreedores. ¿Por que optó por irse de Syriza?
Por desgracia Tsipras no usó los resultados del comité de la deuda de ninguna manera. Desde el momento en que se le entregaron los resultados, Tsipras sabe que la deuda griega es ilegal y no se debe pagar. Sin embargo, no usó para nada el informe del comité en sus negociaciones con los acreedores, aunque se probó que el informe producía resultados, ya que es el primer documento oficial que revelaba los documentos secretos y confidenciales del FMI que probaban que el Fondo sabía que la deuda griega era insostenible desde 2010 y, que no obstante, formuló más préstamos. Es más, los trabajos del comité revelaron que los rescates no eran para salvar al pueblo o a la economía griega, sino a los bancos franceses y alemanes que poseían millones de euros en bonos griegos.
¿Por qué Tsipras no usó esa información?
Esa es una pregunta que yo no sé contestar y que Tsipras ni su Gobierno tampoco han contestado. Pero hay más preguntas sin respuesta. Tsipras tampoco ha contestado por qué hizo caso omiso al informe del FMI del 26 de junio, el primer documento en el que admite que la deuda griega es insostenible y que no se puede pagar. Pero es que hay otro documento del FMI en esta dirección del 14 de julio. Tsipras no usó esa herramienta para abolir la deuda. No tengo una respuesta sobre por qué hizo esto.
¿El acuerdo firmado fue una capitulación?
Fue una capitulación que todavía nadie ha explicado. No tiene ningún sentido que cuatro días después de la victoria del 'no' en el referéndum Tsipras llevase al Parlamento una ley que daba poderes al Gobierno para negociar un trato casi idéntico a las medidas que se rechazaron en el referéndum. Tsipras argumentó que era para su protección y que era lo más lejos que llegaría. No obstante, la realidad mostró que fue mucho mas lejos, y se firmó un acuerdo neoliberal mucho más antisocial que recrudeció la miseria de la sociedad griega.
Zoe Konstantopoulou en un momento de la entrevista SANDRA LÁZARO
¿Cómo ha digerido la sociedad griega la firma del rescate?
La gente todavía está impactada y confusa por lo que ha pasado. Muchas personas necesitarán todavía más tiempo para comprender lo que pasó. Hay que tener en cuenta que muchas personas que lucharon para dejar atrás los memorandums y restablecer la democracia vieron cómo se firmaba el memorándum y se abandonaba a la democracia. Creo que fue un shock y un trauma para mucha gente. Muestra de ello fue la abstención de casi un 50% en las elecciones del septiembre, que fueron diseñadas rápidamente para quitar fuerzas a los críticos con Tsipras y a los que defendíamos el programa con el que la izquierda había salido elegida.
¿Grecia ha perdido la esperanza?
La esperanza nunca se pierde. Habrá esperanza mientras haya gente, que la hay, y muchos jóvenes determinados para luchar por sus vidas, por sus derechos y su dignidad.
Estrategias comerviales para que lis productos reduzcan su vida
La fundación impulsora de la certificación, que es gratuita, reclama a los partidos que incorporen en sus programas medidas contra esa estrategia comercial de reducir deliberadamente la vida de un producto para incrementar las ventas
El espíritu de resistencia de los consumidores hacia la obsolescencia programada, la estrategia comercial de reducir deliberadamente la vida de un producto para incrementar su consumo, está creciendo. Y a esa tendencia opositora se suman ahora las propias empresas. Frente a los muchos fabricantes que diseñan productos o servicios de tal modo que, tras un periodo de tiempo calculado de antemano, se vuelven obsoletos o inservibles consiguiendo el incremento de las ventas y la aceleración del consumo, hay otros tantos dispuestos a abandonar esas prácticas. Un ejemplo muy conocido en Euskadi es el de Koopera, un proyecto dedicado a la reutilización de aparatos eléctricos y electrodomésticos.
Esta organización y el resto de las que rechazan la elaboración de productos diseñados para morir rápidamente, podrán ser distinguidas con un sello que certifique ese buen hacer. Se trata del sello ISOPP, innovación Sostenible sin obsolescencia programada, al que puede aspirar cualquier organización que cumpla un decálogo de buenas prácticas. Entre ellas destacan que los productos sean reparables por un coste menor al de comprar uno nuevo o que la garantía del producto sea superior a los dos años obligatorios por ley. Lo novedoso de este sello es que se otorga además de manera gratuita.
La iniciativa se ha puesto en marcha por Fundación Feniss, que nace con el objetivo difundir qué es la obsolescencia programada y cómo afecta al conjunto de la sociedad en su día a día y en el entorno. El impulsor de esta corporación es Benito Muros, un ingeniero conocido por su bombilla diseñada para durar 90 años. Salió malparado con su invento porque la industria se rebeló contra él pero lejos de rendirse Muros emprendió su particular batalla contra la llamada obsolescencia programada que ha cristalizado en la Fundación Feniss. Desde ella, además del incentivo del sello certificador, darán apoyo a emprendedores y empresarios fabricantes de productos de larga duración, sin fecha de caducidad programada. "Ya tenemos más de 100 proyectos que aspiran a recibir nuestras ayudas. Son de diversa naturaleza, desde aquellos enfocados al ahorro energético como máquinas de uso sanitario destinadas a reducir la psoriasis". Las elegidas mediante concurso recibirán una aportación económica a determinar por los patrocinadores de la fundación Feniss, y que servirá para contribuir al desarrollo y lanzamiento del proyecto galardonado.
De forma paralela la fundación tiene contacto con los partidos políticos con el propósito de que incluyan medidas contra la obsolescencia programada en sus programas electorales. Hace un año, países como Francia aprobaron, dentro de la llamada Ley de Transición Energética, multas de hasta 300.000 euros y penas de cárcel de hasta dos años para los fabricantes que programen el fin de la vida útil de sus productos. La norma está pendiente de ser ratificada. En Alemania, el partido de Los Verdes presentó un estudio y propuso algunas soluciones, mientras en Bélgica se adoptaba una resolución al respecto en el Senado.
Muros quiere que se implanten en España medidas similares. "No me declaro anticapitalista pero debemos crecer de forma sostenible y no con el descontrol que se está haciendo, e incluso transitar hacia un modelo económico no basado en el crecimiento como el implantado actualmente. Pero para ello es necesario un proceso de transición mínimo de 20 años. Mientras tanto podemos ir reduciendo estas prácticas de usar y tirar", explica Muros.
Una aplicación para el móvil y centros de reparaciones
La obsolescencia programada afecta al planeta debido al agotamiento de las materias primas, al fabricar con una corta fecha de caducidad. Esto contribuye a aumentar las emisiones de CO2 que se emiten a la atmósfera. Y, por otro lado, afecta al modelo económico del crecimiento permanente y sin control, endeudando y arruinando a familias, empresas y hasta países por completo.
La idea de la fundación es crear en conjunto con los ciudadanos un nuevo modelo industrial, económico y social basado en la sostenibilidad, en el respeto por el medio ambiente y por las personas, basado en la economía de bien común.
Otra de las acciones será la creación y extensión por todo el territorio nacional de centros de reparaciones de productos. Serán los denominados “Espacio sostenible, no tires, aprende y repara”. Ya se ha creado el primero, situado en el céntrico barrio del Raval de Barcelona, donde está ubicada también la sede la fundación. Quieren desarrollar también una aplicación móvil mediante la cual el consumidor podrá escanear el código de barras de los productos y conocer la huella de carbono completa, lugar de fabricación, vida útil, coste de reparación aproximado en caso de avería, etc.
La Russie a bombardé 472 installations terroristes en Syrie au cours des deux derniers jours
Source: RIA NOVOSTI
RT en Français
Les forces armées russes ont détruit 472 cibles terroristes en Syrie, en 141 sorties aériennes effectuées lors des dernières 48 heures. Les frappes ont eu lieu dans les provinces d’Alep, de Damas, de Hama, de Homs, de Idleb, de Lattaquié et de Raqqa.
Tous les avions russes sont rentrés à la base aérienne de Khmeimim près de Lattaquié, a déclaré Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense.
Lors des deux derniers jours, les avions ont aussi accompli des missions supplémentaires de reconnaissance sur de nouvelles cibles, a-t-il ajouté.
Le porte-avion Charles-de-Gaulle commence ses opérations contre Daesh
Le ministre de la Défense français, Jean-Yves Le Drian, a annoncé que le porte-avion Charles-de-Gaulle était arrivé près des côtes syriennes dans la nuit de dimanche à lundi et qu’il était «prêt à commencer l’opération contre les terroristes en Syrie».
Source: Reuters
La position exacte du bâtiment est tenue secrète pour des raisons de sécurité. D’après les estimations, sa mission durera quatre mois, mais le gouvernement pourra la prolonger.
Grâce aux 26 chasseurs embarqués, dont 18 Rafale et huit Super Etendard, l'armée française espère tripler sa capacité de frappe contre Daesh en Irak et en Syrie. Six Rafale et six Mirage 2000 français sont déjà stationnés aux Emirats arabes unis et en Jordanie.
Jean-Yves Le Drian a aussi nommé les cibles que la France a l’intention de frapper en priorité. Ce seront «Mossoul en Irak, où se trouvent les lieux de décision politique de Daesh et Raqqa en Syrie, où se trouvent les centres d'entraînement des “foreign fighters”, c'est-à-dire les combattants destinés à agir à l'extérieur», a-t-il précisé
Un preso detenido por captar yihadistas y amenazar con bombas en Madrid y Barcelona
La Policía Nacional ha detenido a un preso en una cárcel española por captación y adoctrinamiento de yihadistas y por amenazar en nombre del Estado Islámico con poner bombas en Madrid y Barcelona, han informado a Efe fuentes de la lucha antiterrorista.
Se trata del primer detenido en España relacionado con actividades de terrorismo yihadista tras los atentados simultáneos del pasado día 13 en París, que causaron la muerte a 130 personas y más de 300 heridos.
Los agentes de Información se han traslado a la cárcel donde el detenido cumple condena para leerle sus derechos, después de una investigación en la que se constató su implicación en a actividades de adoctrinamiento y captación y de amenazas con fines terroristas.
Se trata, según las fuentes, de un hombre de origen marroquí y de 42 años, que ha sido arrestado por agentes de la Brigada Provincial de Información de la Policía Nacional en Madrid.
Precisamente, a finales de octubre esta misma Brigada detuvo a otros dos presos como supuestos autores del envío, también en nombre del Estado Islámico, de una carta al PP en la que amenazaban a dirigentes del partido, como el presidente del Gobierno, Mariano Rajoy, y advertían de la colocación de bombas en Madrid y Barcelona.
La misiva fue remitida a la sede del PP a nombre de Esperanza Aguirre, presidenta de este partido en la Comunidad de Madrid.
La carta, escrita en árabe y en español, fue redactada por dos presos, uno de ellos de origen ceutí, cuando coincidieron en la cárcel de Segovia y ambos fueron arrestados en este centro penitenciario y en el del Puerto de Santa María (Cádiz), acusados de un delito de amenazas con fines terroristas.
Se trata del primer detenido en España relacionado con actividades de terrorismo yihadista tras los atentados simultáneos del pasado día 13 en París, que causaron la muerte a 130 personas y más de 300 heridos.
Los agentes de Información se han traslado a la cárcel donde el detenido cumple condena para leerle sus derechos, después de una investigación en la que se constató su implicación en a actividades de adoctrinamiento y captación y de amenazas con fines terroristas.
Se trata, según las fuentes, de un hombre de origen marroquí y de 42 años, que ha sido arrestado por agentes de la Brigada Provincial de Información de la Policía Nacional en Madrid.
Precisamente, a finales de octubre esta misma Brigada detuvo a otros dos presos como supuestos autores del envío, también en nombre del Estado Islámico, de una carta al PP en la que amenazaban a dirigentes del partido, como el presidente del Gobierno, Mariano Rajoy, y advertían de la colocación de bombas en Madrid y Barcelona.
La misiva fue remitida a la sede del PP a nombre de Esperanza Aguirre, presidenta de este partido en la Comunidad de Madrid.
La carta, escrita en árabe y en español, fue redactada por dos presos, uno de ellos de origen ceutí, cuando coincidieron en la cárcel de Segovia y ambos fueron arrestados en este centro penitenciario y en el del Puerto de Santa María (Cádiz), acusados de un delito de amenazas con fines terroristas.
Un miler d'agents escorcollen uns 70 pisos i preveuen detenir un centenar de persones a Barcelona
Un miler d'agents escorcollen uns 70 pisos i preveuen detenir un centenar de persones a Barcelona
Un miler de mossos d’esquadra han engegat avui a les quatre de la matinada una macrooperació contra el tràfic de drogues als barris de la Mina, a Sant Adrià de Besòs, i al districte veí de Sant Martí, a Barcelona. La policia catalana ha entrat de manera simultània en uns 70 pisos i ha detingut un centenar de persones, segons fonts policials.
Els agents culminen així una investigació que ha durat més d'un any contra el tràfic de cocaïna, heroïna i marihuana. Els policies sospiten que alguns dels implicats poden dedicar-se també al tràfic d'armes, segons les mateixes fonts.
Es tracta de dues investigacions paral·leles, l'operació Tità i l'operació Picapedra, que coordinen el jutjat d'instrucció número 3 i el número 4 de Badalona, respectivament. Mentre agents del grup d'estupefaents de la unitat d'investigació de Badalona iniciaven el seu cas, alhora, des de la comissaria Sant Martí també s'obrien diligències. La policia catalana ha decidit efectuar les detencions alhora, ja que, segons fonts del cas, alguns dels encausats coincidien i els barris limiten entre si.
Està previst que els Mossos arrestin membres de cinc clans gitanos diferents, que controlen el tràfic de drogues a la Mina. Entre els implicats hi ha almenys un familiar de Los Manolos, un dels grups amb més autoritat al barri, que ja es va veure immers en una altra investigació el 2013.
Els sospitosos viuen en alguns dels pisos que està escorcollant la policia, i hi venen la droga; altres immobles són guarderies, que és com es coneix en argot el lloc on amaguen la mercaderia. Es tracta d'habitatges independents, però a vegades estan connectades entre si.
En el dispositiu policial, que dirigeix l'intendent Ignasi Teixidor, cap de la divisió d'investigació criminal dels Mossos d'Esquadra, hi estan intervenint des de primera hora de la matinada agents del cos d'elit (GEI), antidisturbis (BRIMO i ARRO), així com membres de la unitat canina. Un helicòpter sobrevola en tot moment la zona, als voltants del Parc del Besòs.
Suscribirse a:
Entradas (Atom)
Entrada destacada
PROYECTO EVACUACIÓN MUNDIAL POR EL COMANDO ASHTAR
SOY IBA OLODUMARE, CONOCIDO POR VOSOTROS COMO VUESTRO DIOS Os digo hijos míos que el final de estos tiempos se aproximan. Ningú...
-
Jose Park
-
U.S. Marines arrested disgraced California Governor Gavin Newsom on 1 November, delivering another major blow to the Deep State hegemony’s p...
-
💥💥LA LISTA ES INMENSA!😱😱😱 Los tribunales arrestan a estas personas vestidas de civil. Vimos el arresto de Obama. El arresto se llevó ...